FORSEE : Indicateur évalué
Sous-indicateur : Profondeur de la nappe superficielle | ||||||
Coûts Zone pilote : 98 000 ha Prix : - Total : 8 656 € - Marginal : 6 240 € - Partagé : 2 416 € Coût/ha : 0,09 € Les coûts comprennent :
| Résultats | |||||
Commentaires Ces cartes ont été obtenues à partir de la « Cartographie de la vulnérabilité des systèmes aquifères en Aquitaine » établie par le BRGM. Dans le cadre de cette étude sur les risques de diffusions des pollutions dans les aquifères, le BRGM a produit une carte sur laquelle figure l’épaisseur de la zone non-saturée (ZNS) en mètre qui correspond à la profondeur à laquelle se trouve la nappe par rapport à la surface du sol. Dans la mesure où la carte était à l’échelle de toute la région, la précision des données à l’échelle des bassins étudiés reste assez limitée (le pas est de 1000 m) mais a tout de même permis de produire la carte ci-dessus. Cependant, compte-tenu de la précision des données mises à disposition, il nous a paru délicat de calculer une valeur d’indicateur par sous-unité hydrographique. En tout état de cause, des données plus pertinentes résultant de suivis plus systématiques seraient nécessaires à un tel calcul. | ||||||
Problématique et améliorations Un tel indicateur a pourtant une pertinence théorique forte dans la zone étudiée. En effet, la relation nappe-débit a pu être vérifiée lors des suivis de bassins versants dans la région. Ainsi, une modélisation des termes du bilan hydrologique (avec Modflow), et une validation des limites du bassin versant ont pu être réalisés sur le bassin du Tagon où les suivis hydrologiques et hydrogéologiques ont permis l’acquisition de données de suivi pertinentes (cf travaux JC CHOSSAT). Les lames d’eau mesurées et modélisées sont équivalentes (cf figure) | ||||||
Commentaires et conclusion En l’état actuel des données disponibles et malgré la pertinence théorique de l’indicateur, il ne paraît pas possible de le calculer avec une fiabilité suffisante sur les unités hydrographiques de la zone. Il faut cependant prendre en compte, à moyen terme, l’évolution des systèmes d’information sur les nappes (BRGM) qui permettra l’accès à des sources de données plus nombreuses et plus référencées. | ||||||
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