FORSEE : Indicateur évalué

Sous-Indicateur 5.3.2.1 : Texture du sol

Coûts

Zone pilote : 35 éch.

Total : 90 éch.

Prix (/ech.)

Total : 200 €

Marginal : 0 €

Partagé : 230 €

Optimal : 161 €

Coût/ha :

selon densité échantillonnage

Ces coûts comprennent

table1

Résultats

Les stocks de litière sont très variables (50-200 t/ha). Ceci est le résultat de la gestion intensive qui est pratiquée dans le massif landais. En effet, les perturbations du sol et de la litière tendent à incorporer celle-ci dans le sol et favorisent leur dégradation.

Il est alors logique que le stock de litière soit le plus faible dans les jeunes peuplements dans la mesure où ceux-ci ont subi de fortes perturbations à leur installation et durant leurs premières années :

graf1

Les teneurs en nutriments des litières peuvent varier de manière significative : C=161-399 ; N=4.5-12.2 ; P=0.17-0.36 ; K=0.43-1.54 ; Ca=1.96-5.18 ; Mg=0.77-1.85 (en g/kg). Toutefois, c’est bien le poids de litière qui est principal déterminant du stock de nutriments qu’il contient : C=11.2-71.9 (en t/ha) ; N=231-1924 (en kg/ha) ; P=11-65 (en kg/ha) ; K=32-142 (en kg/ha) ; Ca=104-812 (en kg/ha) ; Mg=41-321 (en kg/ha). On retrouve donc le même effet de l’âge du peuplement associé à l’effet des perturbations du sol.

Commentaires

L’échantillonnage rigoureux de la litière n’est pas un exercice trivial. La très grande variabilité intra-parcellaire impose de prendre un nombre conséquent de répétitions. De même, la limite entre la litière et le sol n’est pas toujours claire et une formation minimale des opérateurs est utile.

Problématique et améliorations

Commentaires et conclusion

Compte tenu de la variabilité respective des stocks de litières et de leurs teneurs en nutriments, il ne semble pas pertinent de faire un suivi systématique des teneurs. De plus, cela permettrait de suivre cet indicateur à moindre coût se focalisant sur la masse.

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